🧩Introduction : Sens ou Identité ?
🔑 Quand le Vide N’est Plus un Problème, Mais un Point de Départ
📌 Le faux problème du manque de sens
📌 L’illusion de l’Homme comme être autonome
🌀 L’Esprit et l’Animal – L'Origine Cachée de Ton Existence
📌 L’Esprit Créateur et la Créature Expérimentale
📌 Pourquoi l’Esprit ne se manifeste pas immédiatement ?
⚡ L’Éveil de l’Animal – Le Retour de l’Esprit vers Lui-même
📌 La Création de la Conscience – L’Esprit dans la Chair
📌 La Mémoire : Outil d’Organisation ou Prison de l’Involution ?
📌 L’Interprétation Astrale de l’Esprit
🤖Les angles morts de l'article détectés par une IA
📌 Comment un lecteur peut-il appliquer cette compréhension à son propre cas ?
- Faut-il qu’il observe ses pensées différemment ?
- Faut-il qu’il arrête certaines habitudes mentales ?
- Y a-t-il une posture intérieure à adopter pour sortir du cycle de l’angoisse ?
Dans ce post, j’ai décidé de traiter le problème de façon originale, mais qui selon moi se rapproche plus d’une solution réelle à l’initiation difficile, que d’une méthode rapide et facile, mais temporaire.
Tu n’as pas atterri sur le site d’un psychologue. Ne compte pas sur moi pour te donner des conseils du style : “technique de méditation ou de respiration pour gérer l’anxiété existentielle” ou encore “les 4 accords toltèques pour retrouver un sens à sa vie”
Ca c’est bien si t’es en dépression urgente et que tu es très fragile. Dans ce cas là je ne te conseille pas de lire cet article. Mon blog est plutôt destiné à des gens qui savent à peu près encaisser la réalité, qui ne se voilent pas trop la face de manière générale.
Cet article ne va pas t’aider à trouver un sens à ta vie. Il va t’aider à accepter le fait qu’il n’y a pas de sens précis, si ce n’est ceux que tu te donnes.
Je crois ne pas me tromper si je dis que t’es pas là pour trouver le bonheur, t’es là pour apprendre à construire une identité bien ancrée avec ton esprit. Une identité beaucoup plus alignée avec ce que tu ressens de toi, de ton énergie, de la vie que tu pourrais avoir, même si y’a des chances que tu n’aies pas la moindre idée de ce que tu veux vraiment.
Personne n’en sait quoi que ce soit d’ailleurs.
Seulement si un beau jour t’es frappé par une certaine intelligence, tu te mets à ressentir que tout est de la merde. Et selon ce degré soudain de réalisation, même pour les trucs importants dans le monde, y’a une part de toi qui n’en a absolument rien à foutre.
(Bon, avec certains degrés et selon l’humeur bien sûr…).
Comme si cette part de toi : Ton énergie, ton esprit, ton essence divine, peu importe les foutus mots qu’on attribue à ce sentiment subtil, savait que rien n’a réellement de sens dans cette vie limitée et temporaire.
Quand la lucidité te frappe, il y a une part de toi qui n’arrive plus à s’intéresser à ce que le monde considère comme important. Et même tes propres émotions, tu finis par douter de leur légitimité.
Tu te retrouves à plus savoir quoi faire. T’as épuisé l'intérêt que ton égo avait besoin pour se construire une certaine identité. Tu peux enfin t’occuper de toi-même, et finalement il ne se passe rien.
L’identité que ce monde t’a donnée, c’était celle d’un esclave influencé pour bâtir l’édifice d’une conscience collective, qui te récompense avec un but sans lequel tu n’es rien ni personne.
Voilà ce que tu es peut être pour le moment. Un esclave libre de ses chaînes, de ses obligations, mais qui du coup ère sans but dans le désert, crevant de la soif de quelque chose, mais quoi ?
La crise existentielle n’est pas une panne, ni un défaut de fabrication dans l’esprit humain. Ce n’est pas non plus une anomalie à corriger avec un sens artificiel greffé à la va-vite. C’est une transition, un passage obligé pour ceux qui commencent à percevoir la faille dans la structure de leur propre existence.
La majorité des gens passent leur vie à combattre ce vide, à chercher comment le remplir. Ils veulent un but, une mission, une justification pour ne pas se confronter au simple fait que tout ce qu’ils poursuivent repose sur des illusions construites de toutes pièces. Mais que se passe-t-il quand on cesse d’avoir peur de ce vide et qu’on l’observe sans chercher à le combler ?
Si tu ressens ce vide, c’est que quelque chose en toi a déjà commencé à s’éloigner du grand cirque de la vie ordinaire. La quête du sens est un piège bien huilé, une illusion bien ficelée qui pousse les individus à toujours chercher un objectif extérieur pour justifier leur présence ici.
La plupart des gens refusent cette absence de sens car elle est inconfortable. Ils veulent se sentir utiles, intégrés, nécessaires à quelque chose. Ils cherchent un sens dans le travail, la famille, l’amour, les passions, les croyances. Mais ces structures ne sont que des échafaudages temporaires qui masquent une réalité plus vaste :
Alors, quand ces piliers s’effondrent, le vide apparaît. Et là, deux choix s’offrent à toi :
1. Essayer frénétiquement de retrouver une nouvelle cage dorée, un sens de remplacement pour ne pas affronter l’inconfort.
2. Accepter que le vide n’est pas une erreur, mais une ouverture, un moment où l’ancien programme mental commence à se fissurer.
Si tu prends le deuxième choix, alors quelque chose de radical change : tu arrêtes de vouloir combler le vide et tu le regardes pour ce qu’il est.
L’un des plus grands malentendus de l’expérience humaine, c’est l’idée que nous sommes des individus autonomes, des entités isolées qui évoluent dans un univers chaotique sans but précis. Cette perception est un conditionnement, une vision étroite de l’existence qui limite tout à une simple lutte de l’individu contre le monde.
En réalité, ce que tu appelles "moi" n’est qu’une interface temporaire entre une conscience plus vaste et un véhicule biologique. L’être humain fonctionne comme un programme : il naît, il se conditionne, il cherche des repères, il suit des trajectoires prédéfinies, et il finit par croire que tout cela forme un "moi" cohérent.
Mais à quoi bon ce "moi" quand il commence à se rendre compte qu’il est une illusion ?
Ce qu’on prend pour notre "identité", nos pensées, nos envies, nos décisions, ne sont que des réactions conditionnées par une structure qui dépasse notre compréhension immédiate.
Ce moment de rupture est ce que tu appelles "crise existentielle". Ce n’est pas une chute, c’est une faille dans le programme. Un espace où la vraie perception peut enfin s’infiltrer.
Tu crois que tu cherches un sens, mais ce qui t’arrive, c’est que le faux sens s’efface.
Si tu arrives à ce stade, c’est que quelque chose en toi commence à émerger. Une présence qui n’a jamais dépendu du monde extérieur, mais qui n’attendait que la brèche pour commencer à se révéler.
Tu as passé ta vie à croire que tu étais un simple humain, un individu avec une conscience individuelle qui navigue tant bien que mal dans un monde absurde. Mais si ce que tu appelles "toi" n’était en réalité qu’un fragment d’un processus bien plus vaste, un simple point d’observation temporaire dans une expérience qui te dépasse ?
Là où la majorité des gens cherchent un sens préfabriqué pour se sentir existants, une autre vérité commence à se dessiner pour ceux qui voient la faille : tu n’es pas ce que tu crois être.
L’Homme n’est pas seulement un animal évolué, ni un simple produit de son ADN. Il est une intersection entre deux forces :
Là où les masses cherchent à donner du sens à leur condition animale, certains commencent à ressentir qu’ils ne sont pas uniquement cette créature. C’est le premier signe que quelque chose en toi s’éveille.
Si la réalité n’est qu’un champ d’expériences évolutives, alors qui est l’expérimentateur ?
Les religions et les philosophies ont toutes tenté de répondre à cette question, en plaquant des dogmes, des entités divines, des systèmes moraux sur ce mystère. Mais la vérité n’a pas besoin d’être expliquée, elle se ressent.
Si l’Esprit existe, il n’a pas l’air pressé de se manifester. Il regarde l’Homme galérer avec ses angoisses existentielles, ses factures impayées et ses relations foireuses, sans broncher. Un vrai spectateur silencieux. Certains diraient que l’Esprit est hors du temps et de la forme. Mais bon, vu d’ici, on pourrait plutôt croire qu’il est juste un gros flemmard qui tarde à prendre le volant.
Peut-être qu’il observe, peut-être qu’il expérimente, ou peut-être qu’il est juste mort de rire en nous voyant nous débattre dans l’existence comme des Sims coincés dans une piscine sans échelle...
L’hypothèse la plus crédible ? L’Esprit n’est pas là pour te guider comme un coach de développement personnel, il veut voir jusqu’où tu peux aller avant de comprendre par toi-même. Une sorte d’émission de télé-réalité cosmique où il ne reste qu’une seule question :
à quel moment l’Homme se rendra-t-il compte qu’il n’est pas juste un animal ?
Si l’animal vit pour survivre et se reproduire, l’Esprit vit pour créer et comprendre. Mais ce n’est pas un processus immédiat. Il laisse d’abord l’humain croire qu’il est maître de son existence, avant de faire remonter la mémoire de ce qu’il est vraiment.
Le problème, c’est que ce réveil n’est jamais confortable.
Si l’Esprit est là, pourquoi ne guide-t-il pas l'individu dès sa naissance ? Pourquoi le laisse-t-il patauger dans la merde de l’existence humaine avant de se révéler ?
Parce que c’est l’expérience qui forge la compréhension.
Ce processus est incontrôlable, il ne peut pas être déclenché volontairement par un dogme ou une technique spirituelle. Il commence quand le choc est suffisant, quand l’Homme réalise que son ego, ses désirs et ses ambitions sont des mirages.
Alors, la faille s’ouvre, et quelque chose en toi se souvient.
Le réveil de l’Esprit ne se fait pas par une prière, un rituel ou une illumination soudaine. Il se produit quand la créature commence à douter d’elle-même.
Tu crois que tu perds pied, mais en réalité, c’est l’animal qui s’efface pour laisser place à ce qui a toujours été là.
L’homme croit qu’il se cherche. Il croit qu’il doit se retrouver. Mais rien ne se retrouve. Tout se crée.
Le sentiment de vide que ressent l’homme moderne n’est pas un manque, c’est une confrontation. Une confrontation entre ce qu’il croit être (un individu défini par ses souvenirs, son histoire, son identité sociale) et ce qu’il pressent être en dehors de toute forme construite.
L’erreur, c’est de croire que l’Esprit est une présence bienveillante et structurée qui attend que l’homme s’élève vers lui. L’Esprit ne pense pas, ne réfléchit pas, ne se questionne pas. Il est une énergie brute, une force libre, infinie dans son mouvement, mais sans conscience propre.
Là où l’Esprit pur n’a pas de structure, l’Homme, lui, est une construction de mémoire, un assemblage de réflexions issues du collectif et de son propre passé. Il vit à travers la pensée, qui est elle-même un écho de la mémoire, et tant qu’il est enfermé dans cette boucle, il ne peut pas créer librement.
La conscience naît dans l’animal comme un mécanisme évolutif, un premier pas vers l’autonomie de la perception. Mais cette conscience doit devenir Esprit. Non pas en s’élevant vers quelque chose de supérieur, mais en dissolvant la pensée conditionnée pour redevenir un principe créateur, capable de structurer la réalité sans être dirigé par son propre passé.
L’animal devint homme lorsque l’Esprit est entré dans le mental animal et a commencé à le structurer. C’est à ce moment-là que la réflexion de la lumière de l’Esprit dans un mental suffisamment organisé est devenue l’intellect.
Mais si l’intellect a permis l’émergence de la civilisation, il a aussi prolongé l’influence de la mémoire, et avec elle, les schémas primitifs de domination et de survie. L’histoire de l’humanité est celle d’un combat entre la pure potentialité de l’intelligence et les automatismes archaïques qui verrouillent cette intelligence dans des structures figées. Les premiers êtres devaient comprendre et détruire ce qui, dans leur nature animale, n’était pas compatible avec l’Esprit :
Ces luttes internes ne sont pas simplement des reliques du passé, elles ont été conservées dans la mémoire collective, et c’est précisément là que se cache le verrou qui empêche la conscience de devenir Esprit.
La mémoire est un outil. Elle permet de structurer, d’archiver, d’apprendre. Elle est nécessaire à l’évolution de la conscience. Mais une anomalie s’est produite. Ce qui devait être un simple support pour l’évolution est devenu un outil de contrôle absolu.
Les forces qui ont goûté à la peur, à la survie, à la domination n’ont plus voulu disparaître. Là où l’Esprit pur peut s’effacer et réapparaître sans jamais perdre sa source, ces entités, elles, ont commencé à s’attacher à l’existence.
Ce que l’homme appelle les Archontes, les Dieux, le Diable, les forces involutives, ne sont pas des figures mythologiques abstraites. Ce sont des esprits structurés par la mémoire, des énergies qui ont trouvé le moyen de se perpétuer à travers le temps en infiltrant l’esprit humain par la pensée.
Et tant que l’Homme pense à travers une mémoire conditionnée, il est prisonnier de ces forces.
C’est ainsi que la domination a perduré, par la colonisation mentale. Les illusions sont maintenues parce qu’elles sont encodées dans la mémoire même de l’humanité. Et même si l’Homme évolue, même s’il dépasse un certain niveau d’intelligence, il évolue en parallèle de cette mémoire qui le conditionne sans qu’il en soit conscient.
C’est ici que se trouve l’origine des "Dieux" et des figures mythologiques. Ces "Dieux", toujours représentés comme des êtres hybrides entre l’Homme et l’Animal, n’étaient pas que des créations culturelles.
L’Esprit, dans les temps anciens, s’interprétait lui-même à travers les formes animales. Il tentait de structurer son propre reflet à travers le mental des premiers humains.
C’est pourquoi, dans les visions mystiques et les voyages astraux, les témoins rapportent souvent des rencontres avec des êtres humanoïdes à traits félins, reptiliens, aviaires ou draconiques. Ce ne sont pas des espèces physiques mais des échos vibratoires, des manifestations symboliques d’anciennes matrices de conscience.
Ces formes ne sont que des projections de la lumière, filtrées par le mental animal. Des fragments de l’Esprit déformés par les limites de la perception humaine.
Les races animales des temps anciens n’avaient pas les mêmes fonctions qu’aujourd’hui. L’Esprit expérimentait encore sa propre incarnation, testant différents modèles d’organisation de la matière.
L’Homme moderne n’en voit plus que des traces, mais il continue d’être influencé par cette mémoire, que ce soit à travers les mythologies, les archétypes collectifs ou les visions astrales.
Pour clore cet article, j’ai choisi une approche inhabituelle : au lieu d’écrire une conclusion classique, j’ai répondu aux questions que l’IA m’a posées.
Pourquoi ? Parce qu’en posant ces questions, elle a mis en lumière les angles morts de ma propre pensée, les endroits où il manquait des précisions, où je pouvais affiner l'évolution logique de l'article.
Le but ici n’est pas de donner des réponses absolues, mais de permettre à chacun d’explorer ces mêmes questions en fonction de son propre ressenti.
(Si l'expérience te plaît ou te déplaît, n'hésites pas à le dire dans les commentaires tout en bas.)
Il faut qu’il les observe tout court. Sous entendu que s’il ne les observe pas, il les subit, il les vit, et donc il s’identifie comme si c’était son essence pure qui pensait, lorsqu’en fait, son essence pure est emprisonnée et fragmentée en de multiples “entités” passées, en de multiples mémoires qui deviennent des fragments d'esprit autonomes. L’esprit est beaucoup trop grand pour être vécu dans une seule structure consciente et individualisée.
Il est nécessaire que cet esprit se dissipe en de multiples structures mémorielles. Ainsi, peu à peu, l’individu doit confronter ces pensées qu’il ne reconnaît plus comme “fidèles” à son essence pure. L’individu n’y est pour rien, il n’a rien demandé et c’est cette imposition qui doit le mener à se rebeller contre le fait que ce qu’il croyait être ses pensées deviennent en fait un viol de son identité.
Même si les états similaires à la dépression le vide de ses énergies, qu’il se sent très souvent abattu et sans aucune envie de se battre, il doit quand même le faire. Il doit réaliser tout ceci, même s’il s’agit d’information abstraite à première vue, car perdre l’envie de se battre vient du fait qu’il pense que le combat est perdu d’avance.
Il perd toute motivation car il ne sait pas ce qu’il se passe, il ne sait pas que tout ceci est voulu.
Que les informations proposées, ici, soient vraies ou non n’a aucune importance. L’important c’est le résultat. L’important c’est de nommer des ressentis. C'est à dire :
Apprendre naturellement à mettre des mots pour identifier et combattre des illusions afin de s’en libérer.
C'est faire l'exercice d'une parole libre et créative, sans juger sa valeur.
Si l’angoisse est vécue émotionnellement par un certain type de personne, des méditations, respirations et autres pratiques de sophrologie peuvent faire l’affaire.
Mais science homme est pour les gens dont le mal est plus profond, car l’intelligence de ces personnes est plus complexe. Méditer est suffisant quand il y a peu d’esprit. Quand la présence de l’esprit est trop envahissante, bien que lumière/intelligence, l'individu est choisi à ses dépens par une initiation plus avancée de l’ordre du psychisme et non du corps d’émotion. Alors, les pratiques qui servent à rééquilibrer le corps et l’émotion ne sont d’aucune utilité pour cet individu.
L’individu, conscient de se faire dominer délibérément par certaines forces, doit développer une résistance mentale. Il doit instaurer son autorité dans son espace mental, comme une volonté de concentration et non comme des affirmations en mots par la pensée.
L’angoisse vient d’une agitation mentale, d’entité, ou de l'égo qui se débat, qui cherche ses repères en vain. L’individu doit s’avoir qu’il n’a pas besoin d’oxygène pour respirer dans ce qui semble être un néant intérieur.
S’il est patient, très patient, il sera guidé par son esprit, bien que celui-ci soit silencieux et invisible pendant longtemps. Même s’il ne comprend pas comment son esprit peut sembler autonome vis à vis de sa conscience propre, il n’en demeura pas moins constatable avec le temps, que l’esprit commence à recréer de nouvelles structures mentales plus évoluées. Ainsi, l’individu aura progressivement accès à toutes les informations dont il a besoin pour créer sa vie, guidé cette fois par son essence pure ayant pris conscience de son but résultant de ce processus pénible.
L’initiation est effectivement très compliquée. Il y a de nombreux pièges comme par exemple :
un individu qui coupe soudainement les ponts avec sa famille, influencé par des propos séduisants sur la conscience, l’esprit, la déconstruction nécessaire de la mémoire, ainsi de suite...
Peut en réalité, avoir encore besoin de ces liens sociaux pour ne pas céder à une solitude trop destructrice, bien que fatigué de subir les réflexions et le faible niveau de conscience qu’il attribue aux gens de son entourage.
L’individu interprétera mal, c’est un passage inévitable. C’est lorsqu'il s'aperçoit de plus en plus où et à quel degré il est manipulé par de fausses décisions, que sa volonté jaillira inévitablement. La résistance mentale mentionnée précédemment est l’étape de l’ordre de ce qu’on appelle “l’intégration”.
Fusion = Initiation chaotique, perturbante, douloureuse, destructrice.
Intégration = Le calme après la tempête. Les nouvelles énergies se stabilisent. La résistance mentale s’impose par une autorité calme mais puissante.
Une étape inévitable. C’est injuste pour l’individu. Mais l’individu a raison jusqu’à un certain point. Il n’y a rien à faire, les choses se font et rien n’est pressé. Dans ce cas-ci, je conseille à l’individu de rester lui-même et de tenir bon. Il n’est pas seul, même si l’expérience nécessite qu’il en soit intimement convaincu.
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