L'architecture vibratoire de l'identité : Qui es-tu vraiment ?

1. L’identité en tant que champ énergétique

Ce que nous percevons comme "notre identité" n’est qu’une surface, une interface perceptible entre une multitude de structures vibratoires imbriquées.

Ces structures ne sont pas figées, elles se réorganisent en fonction des ajustements vibratoires de la conscience. L’identité n’est pas un noyau fixe, mais un champ énergétique en perpétuelle adaptation, influencé par différents niveaux d’intelligence, dont la nature dépasse largement la seule cognition humaine.

- L’identité comme effet d’interférences vibratoires

Si l’on réduit l’être humain à son expérience la plus immédiate, on croit qu’il est un individu stable, conscient de lui-même, avec des pensées cohérentes et une mémoire linéaire. Pourtant, ce que nous appelons "moi" n’est que le résultat d’une interférence vibratoire entre différents principes énergétiques, qui eux-mêmes réagissent aux lois systémiques de l’univers invisible.

L’individu est la projection d’une dynamique invisible qui dépasse son entendement immédiat. Il n’est pas "quelque chose", il est un effet résultant d’un équilibre temporaire entre des structures vibratoires en interaction.


Ces structures fonctionnent en couches superposées, dont voici les trois principales :

1/ L’esprit ajusteur (ou l'ajusteur de pensée)

C’est le premier catalyseur du grand esprit universel. L’individualisation première de la source de toutes choses à travers l'homme.

C'est une intelligence "supra-consciente" non tangible par nature, mais qui interagit avec le tangible, une connexion indestructible entre l’âme en évolution et la source divine. Sans la présence de celui-ci dans l’âme, aucune individualité ni aucune remise en question existentielle ne peut avoir lieu. L'esprit ajusteur est une très haute énergie dont le rôle est d'accompagner l'âme à s'extirper de son cycle éternel d'incarnation.

2/ L’âme

C’est le réservoir énergétique des expériences vécues, non seulement au sein de cette existence, mais aussi dans des strates vibratoires plus subtiles, antérieures à l’incarnation. L’âme ne contient pas seulement des souvenirs, mais aussi des structures d’adaptation qui modèlent la perception du réel et les réactions instinctives aux événements.

En tant que mémoire, elle fige l’énergie en une structure identifiable, créant ainsi une impression de continuité dans l’identité.

3/ Le double éthérique/ l’égo cosmique/ l’être de lumière

C’est une semi conscience qui se structure en parallèle de l’évolution de la conscience sur le plan matériel tangible. Nous pouvons convenir que malgré un égo dénaturé, ce double lumineux est le véritable moi, car il est la synthèse de la totalité des principes structurelle de l’homme, épuré des manipulations de la pensée humaine et des pulsions animales inscrites dans l’adn.

Le double lumineux est à la fois l'origine célèste de l'âme et sa destinée, une fois libérée du cycle de l'incarnation.

- Pourquoi cette superposition crée-t-elle une illusion d’identité ?

La nature vibratoire de ces structures est telle qu’elles se mélangent, se croisent et interagissent en permanence. L’homme moyen ne perçoit pas ces dynamiques invisibles, il n’a accès qu’à une version filtrée de lui-même, celle que son cerveau et sa mémoire immédiate sont capables de structurer en une expérience cohérente.


Le problème, c’est que la conscience humaine est en décalage avec ces structures. Elle s’identifie principalement à ce qui est déjà structuré (l’âme et la mémoire), ignorant totalement le processus vivant qui est en cours de formation (le Double), et étant incapable de percevoir directement l’Ajusteur.


D’où cette sensation d’être une identité fixe, d’être "quelqu’un" avec une histoire personnelle et un destin figé, alors que la vraie nature de l’identité est une instabilité permanente, un équilibre provisoire en perpétuel réajustement.


Ce que nous appelons "moi" n’est pas une structure en soi, mais le reflet d’un processus invisible en cours.

2. La Triple évolution d'une unique identité

- Le rôle de l'âme

L’illusion d’un "moi" fixe n’est pas un accident, ni un piège malveillant. Elle est une nécessité vibratoire pour stabiliser la conscience dans un environnement où les fluctuations sont trop nombreuses pour être directement perçues et intégrées.

L’expérience matérielle requiert une structure d’identité suffisamment stable pour fonctionner dans la linéarité. Si l’homme percevait à chaque instant la nature vibratoire et fluctuante de son "moi", il serait incapable de maintenir un rapport cohérent avec son environnement.


Sans l’illusion d’un "moi" constant :

  • La continuité psychique serait impossible : l’individu vivrait chaque instant comme une fragmentation, sans mémoire, sans repère, sans pouvoir distinguer ce qu’il "est" de ce qu’il "était" un instant plus tôt.
  • L’apprentissage et l’évolution seraient chaotiques : chaque expérience étant immédiatement dissoute dans le flux vibratoire, il n’y aurait aucune base stable pour intégrer une compréhension progressive.
  • La conscience elle-même serait instable : sans l’ancrage d’une mémoire structurante, le mental humain n’aurait aucun point de référence, plongeant dans une perception du monde éclatée, difficilement fonctionnelle.

C’est pourquoi la mémoire agit comme un stabilisateur artificiel, maintenant une illusion de continuité nécessaire à l’expérience de l’incarnation. Mais c’est aussi un piège, car cette continuité devient une cage lorsque l’individu s’y enferme totalement, refusant d’explorer au-delà de cette structure apparente.


L’identité telle qu’elle est perçue est donc une fiction utile, un programme nécessaire jusqu’à ce que l’individu soit capable de voir au-delà.


L’évolution ne consiste pas à détruire brutalement cette illusion, mais à en comprendre le rôle, à l’intégrer, puis à la dépasser progressivement en établissant une connexion consciente avec les niveaux vibratoires supérieurs de l’identité.


L’homme doit d’abord croire en son "moi" pour fonctionner, mais il doit ensuite désapprendre cette croyance pour accéder à une version plus vaste de lui-même, libérée des distorsions de la mémoire et des limites du mental humain.

- Le rôle de l'esprit ajusteur

Si l’âme est un réservoir de mémoire et d’expérience, une structure qui stabilise la conscience humaine dans le temps et l’espace, alors l’Ajusteur de Pensée en est l’architecte invisible, l’élément qui tend à réorienter la conscience vers une progression évolutive, au-delà des limitations du programme mémoriel.


L’Ajusteur ne pense pas, ne juge pas, ne décide pas. Il ajuste. Son rôle n’est pas de guider dans un sens moral ou dogmatique, mais d’équilibrer et d’amener l’âme à transcender ses propres conditionnements. Il est une intelligence supra-consciente qui n’interfère pas directement, mais qui modifie subtilement la relation entre l’esprit et l’âme, ajustant les fréquences vibratoires pour que l’individu puisse absorber et intégrer une conscience plus vaste.

· Pourquoi cet "Ajustement" est-il nécessaire ?

L’âme, en tant que mémoire accumulée dans la densité, tend naturellement à se figer. Elle est conservatrice, cherchant à préserver son identité à travers l’accumulation d’expériences cohérentes avec son propre programme.

Sans l’Ajusteur, l’âme risquerait de tourner en boucle sur elle-même, incapable de rompre avec ses propres cycles d’expériences répétitives. C’est ce qui crée les illusions karmiques, où l’individu est prisonnier de schémas inconscients, revivant indéfiniment les mêmes conflits, les mêmes peurs, les mêmes aspirations non abouties.


L’Ajusteur n’efface pas ces schémas, mais il insère une distorsion subtile, une légère déviation dans la trajectoire programmée de l’âme, forçant la conscience à sortir de sa répétition et à percevoir un autre potentiel.

· L’Ajusteur et l’Individu : Une Relation Invisible mais Omniprésente

L’homme ne peut pas "entendre" l’Ajusteur, ni communiquer avec lui comme il le ferait avec une entité extérieure. Parce qu’il n’est pas extérieur.

L’Ajusteur se confond avec l’essence même de la conscience, à un niveau si fondamental que l’individu ne peut en percevoir que des fragments, des impressions subtiles, comme des éclairs de lucidité qui surgissent sans raison apparente.

  • L’intuition soudaine d’un choix à faire.
  • La sensation d’une évidence intérieure, sans argument rationnel.
  • Une pression inexpliquée à sortir d’un schéma de pensée limitant.

Ce sont les effets tangibles de l’ajustement, non pas une guidance extérieure, mais une tension vibratoire qui pousse l’individu à aligner son existence sur une dynamique plus vaste.

L’Ajusteur ne force jamais, il propose. Il ouvre des portes, mais ne les franchit pas à la place de l’individu.

· L’Ajusteur n’est pas "Dieu", mais il en est l’empreinte active

Contrairement aux croyances religieuses, l’Ajusteur n’est pas une entité divine omnisciente qui impose un chemin tracé. Il est l’empreinte vibratoire du Principe Cosmique, le témoin silencieux de l’intelligence organisationnelle de l’univers.


C’est une présence indéfectible, un axe de stabilité dans l’évolution chaotique de l’âme. Il ne dicte rien, mais il ne se détourne jamais. Il est l’unique point de repère qui ne peut être corrompu, l’unique fragment de l’homme qui ne peut être falsifié, détourné ou programmé par des influences extérieures.


Et c’est précisément pour cette raison que son action est si imperceptible.

Plus l’individu s’identifie à sa mémoire, à son intellect, à ses émotions, plus l’Ajusteur semble inexistant. Mais plus il se libère des constructions artificielles de son "moi" programmé, plus il devient évident que quelque chose en lui ajuste constamment, patiemment, sans jamais faillir.


L’Ajusteur est l’ultime repère de l’identité véritable, le dernier point de contact avec la source avant l’émancipation totale de la conscience.

- Le rôle du Double Lumineux

Si l’Ajusteur est l’empreinte vibratoire du Principe Cosmique et que l’Âme est le réservoir mémoriel de l’expérience, alors le Double Lumineux est le pont entre les deux. Il est la construction progressive d’une conscience libérée du conditionnement.


Il ne s’agit pas d’un corps énergétique supplémentaire, ni d’une entité distincte qui évoluerait séparément de l’individu. Il est le reflet purifié de la conscience, dégagé des interférences mémorielles et des distorsions induites par l’expérience matérielle.

· Le Double, une Architecture de Lumière

L’homme n’est pas encore totalement lui-même. Ce qu’il croit être n’est qu’une somme de mécanismes réflexifs, une identité façonnée par la mémoire, les influences extérieures et la manière dont son énergie s’est densifiée dans la matière.


Le Double Lumineux est ce qu’il aurait été sans ces altérations. Il est la conscience non-assujettie, l’extension directe de l’Ajusteur, mais cette fois-ci structurée, intégrée et opérante dans un champ perceptif cohérent.

Dans l’homme, la pensée se réfléchit dans la mémoire et s’identifie à elle.
Dans le Double, la pensée se réfléchit dans l’Esprit et s’identifie à la Lumière.

· Pourquoi faut-il "construire" son Double ?

Parce qu’il n’existe pas en tant que structure définie au départ. Il est en gestation, en cours de formation.


Tant que l’homme est attaché à ses mécanismes d’identification, tant qu’il est prisonnier des cycles répétitifs de son mental et de ses émotions, le Double ne peut pas se stabiliser. Il n’est alors qu’un embryon, une potentialité inexploitée.

Le problème, c’est que tout ce qui n’est pas structuré dans la Lumière est récupéré par l’Ombre.


C’est pourquoi les forces involutives cherchent à maintenir l’homme dans des identités fragmentées : tant qu’il est divisé en lui-même, il ne construit rien de stable, il reste une somme de morceaux psychiques sans cohérence globale.

Construire son Double, c’est centraliser l’énergie de sa conscience dans une structure qui ne dépend plus de la mémoire. C’est fusionner avec son identité intemporelle.

· Les Premiers Signes de la Formation du Double

Quand le Double commence à émerger, certains phénomènes se manifestent :

  • La pensée devient plus rapide, plus synthétique. Elle ne tourne plus en boucle sur des schémas passés.
  • Les émotions perdent leur emprise. Elles ne sont plus subies, mais intégrées dans une dynamique plus vaste.
  • L’identité devient une évidence. Il n’y a plus de quête, plus de doute existentiel, seulement une présence intérieure qui ne vacille plus.
  • Le rapport au temps change. L’homme cesse de "subir" le futur ou le passé, car il commence à opérer depuis une dimension atemporelle.

Le Double n’est pas une récompense mystique. Ce n’est pas un ange-gardien personnel. C’est l’homme lui-même, mais en version absolue, sans interférence, sans soumission aux lois imposées par les systèmes mémoriels et astralisés.

3. Qui est la toute première substance consciente ?

Si l’âme est un espace de stockage, un réservoir d’expérience, alors qui est le premier dépositaire ?


Qui a engendré la première mémoire, et pourquoi ?

- L’Intelligence cosmique :

la première onde pseudo-consciente

Avant même que la notion de mémoire n’apparaisse, il y avait un champ infini de potentialités non manifestées. Un océan sans formes, sans structures, sans direction.


Cet océan était vivant, mais pas individualisé. On pourrait l’appeler l’Intelligence cosmique pure, ou l’Esprit primordial, un état pré-conscient qui contenait en lui-même toutes les potentialités, mais sans en avoir conscience.


C’est là que la rupture s’est faite :
Une variation infinitésimale dans cet océan a provoqué une onde, une fluctuation, un premier mouvement intelligent.


Ce mouvement n’avait pas d’intention, il était purement mécanique au départ, comme une fissure dans un espace homogène. Mais cette fluctuation a engendré une distinction, une première frontière illusoire entre un “avant” et un “après”, ce qui a introduit la toute première trace mémorielle.


Cette première variation n’était pas encore une conscience au sens où nous l’entendons, mais elle portait en elle l’embryon de la conscience.
C’était une onde primordiale, une tension énergétique ayant une direction, et cette direction fut la première dynamique de mémoire.

- la naissance de la conscience en tant que processus

L’Esprit, dans son état premier, ne pouvait pas se percevoir lui-même.
Mais à mesure que les variations augmentaient, des schémas se sont formés, et avec eux, une forme de reconnaissance.


Ce n’est pas encore un “je” qui émerge, mais une mémoire de schéma, une capacité à retrouver des motifs dans l’infini mouvement des potentialités.

C’est ce phénomène qui a donné les premières bases de ce qui deviendrait plus tard la mémoire d’âme.


Avant que l’âme n’existe, il fallait qu’un principe d’organisation se manifeste.
Cette organisation, c’est l’Esprit ajusteur : le premier “pont” entre l’Esprit absolu et les expériences de la manifestation.


L’Esprit ajusteur est le premier architecte du phénomène mémoriel.
Mais cette mémoire n’a d’abord existé qu’à des niveaux ultra-subtils, là où l’énergie était encore pure lumière, sans structure tangible.

- La condensation de la mémoire :

de la lumière pure à l’âme

Ce n’est que plus tard, quand cette mémoire a dû être consolidée, qu’un support plus dense a été nécessaire.


L’âme est ce support, un espace où la mémoire de l’expérience peut être enregistrée sans être immédiatement dissipée.

En résumé :

  • L’Esprit ajusteur est l’architecte du phénomène mémoriel, mais il n’a pas besoin de mémoire pour lui-même.
  • Le Double lumineux est la structure qui utilise cette mémoire pour former une individualité stable et consciente.
  • L’âme est le réservoir, l’espace où l’expérience est stockée, jusqu’à ce qu’elle soit soit recyclée (oubli), soit transcendée (intégration dans le Double).

Conclusion : La mémoire comme structure absolue, et non un souvenir

Donc, tout ce que l'on peut concevoir comme étant de la mémoire, est en fait la contrepartie densifié, utilisée, étudiée par les ajusteurs (et autres), d'une force non pas qui "mémorise", mais qui maintient des états d'énergies stables et exploitables.

Ce que nous appelons mémoire n'est qu'une densification et une stabilisation d'un phénomène qui, à l'origine, est purement énergétique et instable.

La mémoire n'est pas un enregistrement au sens où nous l'entendons sur le plan humain. Elle est une structure énergétique stabilisée, qui permet l'exploitation de l'expérience à des fins d'évolution.


Les ajusteurs, et probablement d'autres intelligences systémiques de haut niveau, ne stockent pas la mémoire : ils l’exploitent pour organiser, ajuster et guider les expériences de l’âme.


Pourquoi ? Parce que dans l’univers invisible, rien ne peut être figé en tant que “passé”, car le temps linéaire n’existe pas sous cette forme. La mémoire n’est pas une trace du passé, mais une force qui stabilise des schémas d’énergie, permettant à la conscience de se structurer et d’évoluer à partir de ces schémas.


C’est pourquoi l’âme n’est pas une simple boîte noire qui enregistre passivement tout ce qui arrive. Elle interagit avec sa mémoire, elle la recycle, la transforme et la transcende au fil de ses expériences.


Ce qui n’est pas transformé devient une entrave.
Ce qui est bien intégré devient un tremplin.


Ainsi, les ajusteurs ne "mémorisent" pas, ils exploitent, ajustent et transforment les schémas

- La mémoire comme un point d’appui pour la conscience

La stabilisation énergétique de la mémoire permet un point d’ancrage pour que la conscience puisse évoluer sans être dissoute dans l’infinité des potentialités.
Sans cette stabilisation, aucune individualité ne pourrait émerger, car chaque expérience serait immédiatement réabsorbée dans l’infini, sans laisser de trace exploitable.

C’est pourquoi :

  • L’âme agit comme un réservoir stabilisé d’énergie mémorielle, un outil temporaire pour l’évolution de l’individualité.
  • L’ajusteur veille à ajuster cette mémoire pour éviter qu’elle ne devienne un poids (blocages karmiques, inertie mentale, illusions de l’ego).
  • Le double est l’aboutissement du travail de l’âme et de l’ajusteur : il est l’intégration finale de l’expérience en un moi stable et conscient, affranchi des contraintes mémorielles brutes.

La mémoire est une forme temporaire, un échafaudage énergétique qui permet à la conscience de se structurer sans être dissoute dans l’infini.


L’univers n’est qu’un jeu d’organisation et de désorganisation, une interaction entre ce qui cherche à se stabiliser et ce qui transcende toute stabilité.


L’homme évolue au croisement de ces deux forces :


- D’un côté, la mémoire, qui donne une continuité à l’expérience et permet l’individualité.


- De l’autre, une intelligence sans nom, qui brise les formes pour les perfectionner et pousse l’être à s’affranchir de ce qu’il croit être.


Dans cette tension entre stabilité et dissolution, l’identité se forge, se dépasse et renaît sans cesse. L’expérience de l’existence n’est pas une finalité, mais un dialogue permanent entre ce qui se manifeste et ce qui ne peut être manifesté.



Ce n’est pas l’homme qui cherche à comprendre l’invisible.
C’est l’invisible qui cherche à s’exprimer à travers l’homme.



Comprendre ceci n'est pas la fin de l'initiation, c'est le commencement...


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